• LES REMPARTS DE SAINT-DENIS-LE-GAST (Manche)

         Saint-Denis-le-Gast possède les vestiges d’un château seigneurial (18e-19e s.) [NdB]

     

    LES REMPARTS DE SAINT-DENIS-LE-GAST (Manche)     « On voit non loin de l’église [Guide pittoresque du voyageur en France, tome V, 1838, Firmin-Didot frères, Paris, p. 31.], les ruines du château, qui, jusque dans le 18e siècle, fut habité par ses possesseurs. Un seigneur de Saint-Denis était à la conquête, un autre à la croisade de Courte-Heuse.

         En 1430, ce château était une forteresse dont les troupes du roi de France se saisirent. En 1437, elles y furent attaquées par le sir Thomas Scale. Il y eut plusieurs combats à Saint-Denis et aux environs. En 1440, on démolit les fortifications qu’on ne pouvait garder.

         Saint-Evremond naquit à Saint-Denis-le-Gast. » [1]

     

    LES REMPARTS DE SAINT-DENIS-LE-GAST (Manche)    LES REMPARTS DE SAINT-DENIS-LE-GAST (Manche)

     

     Plan de situation du château de Saint-Denis-le-Gast ; en marron apparait des bâtiments anciens et en bleu les anciens fossés d'après le cadastre napoléonien de 1801 ; blason de la famille Meurdrac, de gueules à deux jumelles d'or surmontées d'un léopard du même, https://man8rove.com/fr/blason/zwcd9ff-meurdrac 

     

    LES REMPARTS DE SAINT-DENIS-LE-GAST (Manche)

     

    Charles de Gerville, 1825 :

     

    LES REMPARTS DE SAINT-DENIS-LE-GAST (Manche)     « De Ver nous passons près de Gavray pour aller chercher au nord du canton les châteaux de Saint-Denis de Hambye et de Mauny nous reprendrons ensuite Gavray le Mesnil-Garnier et Montaigu, et nous entrerons dans l'arrondissement d'Avranches par le château de la Bloutière. Un seigneur de Saint-Denis se trouve à la conquête d'Angleterre. Son nom figure sur presque tous les catalogues de cette expédition (Brompton, Duchesne, Masseville, chronique de le Mégissier) ; mais comme il existe en Normandie au moins une douzaine de paroisses qui portent ce nom l'embarras est de savoir où placer le château de la famille qui posséda des biens dans notre province et dans la Grande-Bretagne.
          Deux circonstances aideront à fixer cet emplacement. Nous voyons par le livre rouge de l'échiquier que le fief de Saint-Denis était dans le bailliage de Cérences in ballia de Cerentiis Hugo de sancto Dyonisio Hugo de Bello campo etc. (Apud Ducarel traduct. p. 136).
          Mais une circonstance particulière à la réunion des seigneurs de Beauchamp et de Saint-Denis dans le bailliage de Cérences c'est qu'à une époque antérieure au livre rouge de l'échiquier et très rapprochée de la conquête au temps de la croisade de Robert Courteheuse les seigneuries de ces deux paroisses appartenaient à la même famille, car ils portaient les mêmes armes d'azur à deux jumelles d'or au lion passant en chef (Dumoulin hist. de Norm. Catalogue tiré de la biblioth. du chapitre de Bàyeax p. 5. - Laroque histoire de la maison d'Harcourt, p. 1411. – La Chên. des Bois V°. - Meurdrac. – v. mes familles AngIo-Norm. p. 175 . Ces armes sont celles de Meurdrac que j'ai déjà citées parmi celles de la conquête (V. sup. aux articl. Trely et la Meurdraquière).
     

         Nous avons la certitude que le Saint-Denis du temps de la conquête et du temps de Henri II était dans le bailliage de Cérences mais comme il y a aussi dans le même quartier une autre paroisse de Saint-Denis (le Vêtu) dont le surnom se traduit souvent en latin par Vetus ce qui annonce une plus grande ancienneté que celui de Saint-Denis-le-Gast qu'on veut rendre par Junior, il semble, m'a-t-on dit, plus convenable de placer l'ancien château à Saint-Denis-le-Vêtu.
    Je répondrai à cette objection que la tradition dont on veut parler n'a aucun fondement que dans l'état des cures du diocèse de Coutances, sous le règne de St.-Louis, Saint-Denis-Ie-Vétu est appelé Sanctus Dyonisius Vestitus (Regis supra patronalibus eccl. dioc. Constant, apud lib. nig. capituli Constant).
          J'ajouterai qu'il y avait alors deux cures à Saint-Denis-le-Gast que l'église de cette grande paroisse est du temps de la conquête et (ce qui est décisif que la famille Meurdrac possédait la seigneurie de cette commune en 1250 et que les ruines du château-fort y sont encore très visibles très-connues et bien conservées.
          En 1430, Philippe de Saint-Denis (Meurdrac) était seigneur de Saint-Denis-le Gast. Robert Meurdrac possédait un fief dans la même, paroisse (Etat des fiefs de l'élection de Coutances penès nos p. 4).
          En 1430, le château de Saint-Denis-le-Gast était une forteresse. Les troupes du roi de France s'en saisirent. En 1437, les troupes Anglaises, commandées par le sire Thomas Scales vinrent les y attaquer. Il y eut plusieurs combats à Saint-Denis à Beauchamp et à la Provôtière. Les Anglais eurent le dessus. Les manuscrits de M. le Franc qui m'ont fourni ces détails ne m'apprennent pas si les Anglais s'emparèrent du château ; mais cela est assez probable car j'y vois qu'ils en démolirent les fortifications en 1440 parce qu'ils ne pouvaient le garder (Mss. de M. le Franc, déposés à Vire chez Chalmé, libraire).
          Le fameux St.-Evremond était frère du seigneur de Saint-Denis le-Gast. Le nom de sa famille était le Marquetel. Par lettres de commutation de l'année 1591, cette famille prit le nom de Saint-Denis. Vers le milieu du 18e siècle une héritière des seigneurs de ce nom épousa M. le Vaillant avocat-général au parlement de Rouen et lui apporta en mariage le château de Saint-Denis-le-Gast dont ses descendants sont encore propriétaires (Renseignements particuliers).

         Environ à un demi-quart de lieue de l'église, en descendant au Sud-Est vers la rivière de Sienne, on voit encore une grande partie des ruines de cet ancien château-fort qui jusque dans le 18e siècle fut habité par ses possesseurs.
          Leur résidence était dans l'enceinte des fossés de la forteresse. J'y ai remarqué de grands appartements, et entr'autres deux salles dont chacune a deux cheminées.
          De l'autre côté de l'enceinte on voit la chapelle. Ainsi que la maison elle n'est pas bien ancienne. L'enceinte de retranchements était bien antérieure elle était flanquée de plusieurs tours dont la plupart sont encore passablement conservées. On y voit l'emplacement et les accessoires d'un ancien pont-levis sur un fossé profond et qui serrait de près la forteresse.
          Les bords de la rivière près du château sont garnis de jolis coteaux escarpés et couverts de bois. »
     

          Les Marquetel de Saint-Denis portaient d'or à la quinte feuille de gueules. Les armes des le Vaillant sont d'azur au poisson en fasce d'argent au chef d'or. » [2]  

     

    Ci-dessus, une photo aérienne extraite du site Géoportail

     

    LES REMPARTS DE SAINT-DENIS-LE-GAST (Manche) LES REMPARTS DE SAINT-DENIS-LE-GAST (Manche) LES REMPARTS DE SAINT-DENIS-LE-GAST (Manche)

     

    Propriétaires successifs du château de Saint-Denis-le-Gast : 1. blason de la famille Meurdrac, de gueules à deux jumelles d'or surmontées d'un léopard du même, https://man8rove.com/fr/blason/zwcd9ff-meurdrac ; 2. blason de la famille Marquetel, d'or à une quintefeuille de gueules, https://man8rove.com/fr/blason/nk6jv5j-marquetel ; 3.blason de la famille Le Vaillant, d'azur au poisson en fasce d'argent au chef d'or, par Gilloudifs

     

    LES REMPARTS DE SAINT-DENIS-LE-GAST (Manche)     « Un seigneur de Saint-Denis accompagna Guillaume à la conquête de l'Angleterre. Il figure sur presque toutes les listes (Chronique de Normandie, page 111, et Dumoulin, Histoire de Normandie, page 188).

         Des aveux, rendus au roi dans les 14ve et 15e siècles, nous apprennent que le fief de Saint-Denis-le-Gast dépendait du comté de Mortain, et faisait partie du bailliage de Cérences : In ballia de Cerenciis Hugo de Sancto Dyonisio. La seigneurie de Saint-Denis, lors de la croisade de Robert-Courteheuse, appartenait à la famille Meurdrac, qui possédait aussi telles de Trelly, Contrières, Lingreville, la Meurdraquière, et dont les armes étaient d'azur à deux jumelles d'or au lion passant en chef. Les armes de la famille de Beauchamps étaient les mêmes, à l'exception du lion, que remplaçait un lionceau. Un Philippe de Saint-Denis, dans le 14e siècle, avait aussi les mêmes armes ; seulement, il portait de gueules. Cette similitude dans les armes donnerait à penser que les seigneuries de Saint-Denis et de Beauchamps auraient dans un temps appartenu à la même famille. Un aveu de l'an 1327 nous révèle qu'alors Philippe de Saint-Denys avait la seigneurie de Saint-Denis et le patronage de l'église :

         « Philippe de Saint Denys, dit cet acte, tient du roy nostre sire un fieu de haubert entier assiz à Saint Denys le Gast et en plusieurs autres paroisses en la vicomté de Coustances au quel lieu le roy prent 18 sous pour layde au vicomte qui vont par la main du dit Philippe et passent par la main de Guillaume Pierre sergent du lieu. Item le roy y prent 7 sous qui vont par la main du dict presvost de Cérences et par ce sont quittes les hommes du dict Philippe des coutumes ès foires le roy et aussy quand le cas soffre le dict Philippe en fait un service de cheval luy et ses parchonniers et est patron de l'église de Saint Denys le Gast où il a a deux portions et vaut chacune portion du dixiesme 80 liv. et aussy vaut ce que le dict Philippe a au dict fieu et en la dite vicomté 200 liv. de revenus an pour autre ou viron et a plusieurs fiefs en la dicte vicomté qui sont tenus du dict Philippe les uns par parage et les autres en hommage. »

          Robert Meurdrac et Jehan de la Rochelle possédaient aussi chacun un fief dans la paroisse de Saint-Denis-le-Gast. On trouve qu'en 1394 Henry de Saint-Denys, seigneur de Saint-Denis-le-Gast, devait envoyer trente de ses aînés ou aînesses garder les foires de Montmartin-sur-mer.

         La seigneurie de Saint-Denis-le-Gast, après avoir appartenu a la famille Meurdrac, arriva dans celle des Le Marquetel, qui la possédait dès la fin du 15e siècle. En l'année 1546, Gilles Le Marquetel était seigneur et châtelain de Saint-Denis-le-Gast et de Montfort. Il épousa Madeleine Martel, sœur d'Etienne Martel, évêque de Coutances, de la branche de Bacqueville-Martel, famille dont un des membres, Guillaume Martel, fut, en 1141, grand sénéchal de Normandie. Jean, leur fils, prit le nom et les armes de Saint-Denys, et devint seigneur et châtelain de Saint-Denis-le-Gast. Il épousa Catherine Martel, de la branche de Fontaine-Martel. Il fut député par la noblesse de la vicomté de Coutances pour assister aux assemblées qui eurent lieu dans la grande salle du manoir archiépiscopal à Rouen, pour la réforme de la coutume.

         Jean Le Marquetel eut six filles et deux fils (Les cinq filles ainées épousèrent les sieurs de Vierville, de Savigny-Gambières, de Manille, du Mesnil-Poisson el de Fontenay-haubert-Vierville.).

         Henri mourut sans avoir été marié.

         Son frère Charles épousa Charlotte de Rouville, de la famille des comtes de Rouville de la Cour, et qui, par sa mère, se rattachait à celle des Leveneur, comtes de Tillières. Charles de Saint-Denis et Charlotte de Rouville eurent six fils et une fille qui mourut jeune.

         Chacun des enfants, outre son prénom, reçut un nom de distinction de l'une des terres qui relevaient de la seigneurie de Saint-Denis-le-Gast, et un surnom tiré de son caractère particulier. Ainsi, on appelait :

         François dit de Hollande, l'honnête homme.

         Jean dit de la Bloutière, le fin. Il devint abbé.

         Charles dit de Saint-Evremont, l'esprit.

         Pierre dit de Grimesnil, le soldat.

         Henri dit de la Neuville, le dameret.

         Et Philippe dit le Tanus le chasseur.

         La seigneurie de Saint-Denis continua d'appartenir à la famille Le Marquetel , qui, en vertu de lettres patentes du roi de l'année 1591, avait obtenu la permission de prendre le nom de Saint-Denys. Une dame Le Marquetel la transmit à Henriette Le Marquetel de Saint-Denys de Saint-Evremond, qui épousa Jacques-François Le Vaillant, avocat général au parlement de Normandie. Ensuite elle appartint à Perrotte-Claudine-Henriette Levaillant, épouse de M. Dunot-d'Eberville, et elle devint enfin la propriété de Madame Dubosq de Vitermont, qui la transmit à sa fille, la marquise de Dollon. Le domaine de Saint-Denis-le-Gast a été vendu, il y a quelques années, par la famille de la Goupillière de Dollon. 

         Le château de Saint-Denis-le-Gast était un château de défense. Les troupes du roi de France s'en emparèrent en 1430 ; mais elles y furent attaquées quelques années après, par le sire Thomas Sales, commandant les troupes anglaises. Souvent les soldats français et les, soldats anglais en vinrent aux mains ; el il parait que plusieurs combats s'engagèrent à Saint-Denis-le-Gast, à Beauchamps, et dans un endroit nommé la Prévotière, sur la paroisse du Mesnil-Hue. (…) » [3]

     

    Ci-dessus, plan extrait du cadastre napoléonien de 1801 - https://www.archives-manche.fr/ 

     

         « En janvier 1436, les paysans du Val de Vire, refusent de porter la croix vermeille, insigne de soumission que les conquérants ont imposée. Louis d’Estouteville, toujours en éveil, profite de cette diversion pour étendre la libération du territoire envahi : il appuie un mouvement concerté par trois seigneurs dévoués à Charles VII : André de Laval,  Jean de Beuil et Jean de la Roche. Vers le 30 avril, ces trois seigneurs soutenus par la garnison du Mont, s’emparent du château de Saint-Denis-le-Gast, d’où ils menacent Hambye et Chantelou. En mai ils se rendront maîtres du roc de Granville, couronné seulement d’une chapelle dédiée aux marins, et point stratégique de premier ordre.
    Peu après, Louis apprend que son cher château de Chantelou, patrimoine de sa femme, est rentré aux mains des français. » [4]
     

     

         « Le soulèvement des Vaux de Vire (dit Thomas Basin) fut arrêté net par un capitaine nommé le sire de Scales ». Or, ce chef anglais commande le château de Vire le 23 mars 1436 ; il envoie alors des lettres à Boschier pour l'apaiser, parce que Granville le requiert ; il bat La Hire près de Rouen et guerroie contre les Français en Normandie ; en octobre 1437, il assiège et prend le château de Saint-Denis-le-Gast et assiste comme capitaine de Vire à la reprise de Montereau par les Français. » [5]  

     

         « Les Anglais restèrent les vainqueurs, et, en l'année 1440, ils durent démolir les fortifications du château qu'ils ne pouvaient garder (Voir les manuscrits de Lefranc, à la bibliothèque de Coutances ; Histoire militaire des Bocains, par Richard Séguin.). A peu de distance de l'église, vers la rivière de Sienne, on voit encore quelques ruines de l'ancien château-fort de Saint-Denis-le-Gast, que les seigneurs habitèrent jusque vers le milieu du siècle dernier. Leur habitation se trouvait dans l'enceinte des fossés de la forteresse. On y remarquait de grands appartements, et notamment deux salles qui avaient chacune deux cheminées. L'enceinte était flanquée de tours de défense, et on y arrivait par un pont-levis jeté sur un fossé profond. Dans le cours du 17e siècle, il y avait à Saint-Denis-le-Gast deux fiefs nobles. Les fief et châtellenie de Saint-Denis-le-Gast appartenaient à Jacques-François de Saint-Denys, et s'étendaient sur Grimesnil. Ils étaient d'un revenu de 4 à 5 000 livres de rente. L'autre fief, nommé le Fief du Chouquet, appartenait à André de Bereauville.

         Saint-Denis-le-Gast vit naitre, en 1613, Charles de Saint-Denys, sieur de Saint-Evremond. Destiné par sa famille à la magistrature, il mena de front les plaisirs, la littérature, la jurisprudence et une science, l'escrime, dans laquelle il se distingua, si on en juge par la renommée que conserva longtemps dans les salles d'armes la botte de Saint-Evremond. Une passion plus forte l'entraîna vers le métier des armes. Tout en remplissant ses devoirs militaires, il prenait place parmi les beaux esprits du temps. Ses plaisanteries sur Mazarin le conduisirent à la Bastille. Il en sortit après trois mois ; mais menacé bientôt d'y rentrer, il se retira en Hollande d'abord, et ensuite en Angleterre. Son esprit le fit rechercher par les hommes les plus distingués. Il y devint l'ami, le confident de la belle et spirituelle duchesse de Mazarin. Il mourut après 42 ans d'exil, en 1703, et l'abbaye de Westminster ouvrit ses portes pour cet illustre écrivain normand qui n'avait pu trouver un tombeau dans sa patrie. » [3]  

     

    A proximité

     

    O Buste de Saint-Évremond et panneaux explicatifs

     

    LES REMPARTS DE SAINT-DENIS-LE-GAST (Manche)LES REMPARTS DE SAINT-DENIS-LE-GAST (Manche)LES REMPARTS DE SAINT-DENIS-LE-GAST (Manche)    

     

    Ci-dessus, à droite, une photo du buste de Saint-Evremond extraite de  https://www.wikimanche.fr/Saint-Denis-le-Gast 

      

    O Église Saint-Denis (gothique) 

          « L'église est dédiée à Saint Denis. La paroisse était divisée en deux portions curiales. La grande portion était sous le patronage du seigneur. La petite appartenait à l'Hôtel-Dieu de Coutances.

         L'église a fait l'objet de restauration successives. Le clocher date du 15e siècle. La première pierre de la nef actuelle et des chapelles latérales fut posée le 13 avril 1857. L'ouvrage fut achevé en janvier 1859. » [1]

     

    LES REMPARTS DE SAINT-DENIS-LE-GAST (Manche)LES REMPARTS DE SAINT-DENIS-LE-GAST (Manche)O Manoir de la Monnerie (18e-19e)

     

    Sources :

     

    [1] Extrait de https://fr.geneawiki.com/index.php?title=50463_-_Saint-Denis-le-Gast&mobileaction=toggle_view_desktop 

    [2] Extrait du Second mémoire sur les anciens châteaux de la Manche (arrondissement de Coutances, p. 183-436) in les Mémoires de la Société des Antiquaires de Normandie - Éditeurs :  Mancel (Caen) / Ponthieu et Delaunay (Paris) 1825 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k2000414/f233.item

    Dans ce blog voir également : http://rempartsdenormandie2.eklablog.com/anciens-chateaux-de-la-manche-par-gerville-arr-coutances-3-a212350037 

    [3] Extrait de l’annuaire du département de la Manche – 26e année 1854 – Article de M. Renault http://le50enlignebis.free.fr/spip.php?article10636 et https://www.le-petit-manchot.fr/cc-34-11-saint-denis-le-gast-chateau/articles/ 

    [4] Extrait de Louis d'Estouteville, capitaine et défenseur du Mont Saint-Michel et Jeanne Paynel, son épouse, inhumés dans le chœur de l'abbaye de Hambye par Eugène Niobey (1872-1940). Éditeur (Saint-Lô) 1934 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k321594h/f25.image.r=%22%20ch%C3%A2teau%20de%20Saint%20Denis%20le%20Gast%22?rk=21459;2 

    [5] Extrait de Au pays virois : bulletin mensuel d'histoire locale - Éditeur : (Vire) 1927-01 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5489381f/f28.image.r=%22%20ch%C3%A2teau%20de%20Saint%20Denis%20le%20Gast%22?rk=193134;0 

     

    Bonnes pages :

     

    O http://le50enlignebis.free.fr/spip.php?article12633 

    O https://letanuderaymond.over-blog.com/2018/12/la-famille-le-marquetel-de-saint-denys-le-gast-et-la-vavassorie-du-tanu.html 

    « LES REMPARTS D'URVILLE (Calvados)LES REMPARTS D'EZY-SUR-EURE (Eure) »
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