• LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime)

     LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime) LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime) LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime)

     

    Ci-dessus, à droite, une photo aérienne extraite du site Géoportail.

     

         On trouve au cœur du bourg de Criquetot-L’Esneval les vestiges d’une motte féodale dite « le Chasteau ». [NdB]

     

    Abbé Cochet, 1864 : 

         « Près l’église de ce bourg est une motte assez élevée et légèrement entamée par les constructions. Jusqu’ici on n’y a trouvé que des écailles d’huîtres et des tuiles à rebords. » [1] 

     

    Criquetot-L’Esneval

     

    LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime)     « Le nom de la localité est attesté sous la forme Criketot en 1195.

         Il s'agit d'un type toponymique médiéval issu de l'ancien scandinave et composé des éléments kirkja « église » (cf. anglais dialectal kirk et norvégien kirke) et topt, toft « emplacement, terrain » (cf. scandinave moderne toft). (…)

         Le bourg de Criquetot-l’Esneval se trouve au point de rencontre de routes d’importances diverses : chemin de grande communication no 139 de Lillebonne à Antifer, no 39 de Tancarville à Étretat, no 79 d’Octeville à Fécamp. Ces voies ont toutes et, en particulier la dernière citée, des origines fort anciennes. La voie romaine joignant Harfleur à Fécamp passait non loin du tumulus (la motte ?) situé au centre du bourg et ce seul fait permet de supposer comment est né le village et comment il a grandi. (…)

         L’occupation romaine de la Gaule a laissé sa marque à Criquetot, dont le plus ancien monument, appelé « chasteau » est la motte de terre toujours visible dans le jardin de monsieur Golain, du journal de Criquetot. Cette butte de terre de construction artificielle constituait l’un des nombreux postes de surveillance militaire, destinés à protéger les voies de communication. » [2] 

     

         « Il faut savoir avant toutes choses que Criquetot fut autrefois une terre féodale toute hérissée de forteresses. Il y avait un vieux château scis au Bourg, dont on chercherait en vain le moindre vestige.

         Les vieillards ont aussi connu trois mottes ou roques fortifiées. La première à la Malebrèque, elle est détruite depuis vingt ans. La seconde au hameau de l'Écluse d'où le prince de l'Écluse se battait avec celui de la Corne. La troisième dont nous avons parlé existe encore près du cimetière. » [3] 

     

         « Criquetot est le centre de la baronnie jusqu’au 16e siècle. » [2]

     

         « L’Esneval est le surnom que le village tire de ses seigneurs suzerains, les barons d’Esneval, dont le manoir de Pavilly, au bord de l’Esne (Esne-val). » [4] 

     

         « Le surnom d'Esneval donné à cette commune, lui vient de ses anciens seigneurs, les fameux sires d'Esneval, qui plus tard firent bâtir à Rouen l'hôtel du Bourgtheroulde l'une des plus belles demeures princières que la France n’ait jamais possédé. Aussi avaient-ils grande fortune ces vidames héréditaires de la Normandie, seigneurs de Criquetot-L'Esneval, Anglesqueville-L'Esneval, Flamanville-L'Esneval, Pavilly, Grémonville, Étoutteville et de tant d'autres domaines dont quelques-uns, comme Motteville, possédaient jusqu'à deux mille acres de terre. Nous n'irons pas chercher dans le père Anselme une histoire complète de ces grands officiers de la couronne de France qui possédèrent Criquetot et qui n'y parurent jamais, nous ne citerons que ceux qui ont laissé quelques souvenirs dans le pays.

         Le plus ancien, cité par l'abbé Lebret est le fameux Enguerrand de Marigny, ce premier ministre de Philippe le Bel, qui fut pendu au gibet de Montfaucon, le 30 avril 1315.

         Une vieille tradition prétend que Anne de Dreux, princesse de Bretagne était dame de Criquetot dans le 16e siècle. » [3]

     

         « Louis XI édifie le marché du village en 1476, Charles IX séjourne en 1563 au camp d’Azelonde, venant assiéger le Havre alors occupé par les Anglais. La région est un important foyer protestant durant le 16e siècle. » [2]

     

         « On m'a assuré, continue l'abbé Lebret, que c'était de son temps que Charles IX y avait séjourné. Dans le canton, ce séjour ne parait pas douteux, on désigne la ferme qui appartient aujourd'hui à M. Plainpel ; on désigne le quartier-général qui est le fief d'Azélonde.

         En effet, au mois de juillet 1563, Charles IX vint assiéger le Havre que les protestants avaient livré aux Anglais. « Le roi, dit un vieil historien, étant parti de Gaillon, vint droit à Fécamp. Il trouva en Caux les choses si avancées sous la conduite du maréchal de Brissac, les approches si furieuses, le soldat si bien encouragé, l'orgueil des ennemis si fort repoussé, que ceux qui se disaient la crainte et la frayeur de notre patrie, les fossoyeurs du cimetière de notre armée, furent reçus, à leur grand besoin, à composition, condition qu'ils ne méritaient pas. » Ce fut donc dans son trajet de Fécamp au Havre que l'avant-dernier des Valois s'arrêta à Criquetot et c'est dans l'enceinte circulaire d'Azélonde qu'il plaça son état-major. Depuis ce temps le camp d'Azélonde est devenu un bois taillis, dans lequel des chasseurs en cherchant des renards ont rencontré bien souvent des murailles. Des fossés demi comblés, des retranchements formant une enceinte demi-circulaire indiquent à l'antiquaire la vieille position militaire. En 1574, le fief d'Azélonde se composait de 387 acres de terre ; aujourd'hui il est divisé en plusieurs fermes qui appartiennent à des habitants du Havre. (…)

         Les autres seigneurs de Criquetot dont l'abbé Lebret eu une connaissance plus précise, sont Claude de Prunelay, mort en 1654 et qui dans l'espace de 40 ans a tenu 16 enfants sur les fonts de baptême. » [3]

     

    LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime)     « Le château fut édifié au début du 17e siècle pour la famille de Prunelay, lorsque le domaine fut détaché de la baronnie d’Esneval. Les seigneurs de Criquetot y résidèrent jusqu’en 1789. » [5]  

     

         « En 1728, mourut le marquis de Bourg-Théroulde qui dans ses actes publics et privés prenait le titre de chevalier, seigneur-patron, haut-justicier de Criquetot-L'Esneval, Anglesqueville-L'Esneval, etc. En 1728, la seigneurie passa au marquis d'Ursay qui mourut à Paris en 1755 sans laisser de postérité. Tous ses biens, fiefs et seigneuries revinrent à Joseph Maximilien d'Astron, son frère cadet, qui dans un acte signé de sa propre main s'appelait chevalier, baron, seigneur et patron, chatelain et haut-justicier de Criquetot-L'Esneval, Anglesqueville-L'esneval, les Bouquets, Claire, Azélonde, Yancourt, Mellemonts, L'Epinay, Nointot , etc., etc. Son fils, Eustache d'Astron, dernier seigneur de Criquetot, est mort à Rouen en 1804. » [3]  

     

    LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime)LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime)

     

    Plan de situation de la motte de Criquetot-L'Esneval ; blason de la famille d’Esneval par Gilloudifs. 

     

    La motte :

     

         « Criquetot-l'Esneval, c.l. de cant. — Lieu-dit : le Chasteau (1688). — Parcelle cadastrale : A 232. — Coord. Lambert : 450,52 — 218,08. — Fief : Fécamp, 17

     

    LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime)     La motte, qu'un acte de 1668 appelle « Le Chasteau » (Arch. S. M. G 8092) occupe le centre du village où elle se signale par une touffe de taillis émergeant au milieu d'un pâté de maisons circulaire. Bien qu'il n'en subsiste en fait que la moitié est, le reste ayant été abattu avant la fin du 18e siècle (Comme le montre le plan du bourg de Criquetot en 1789, Arch. S. M., nouv. acq., non encore coté.) elle présente encore une masse fortement escarpée de 5 mètres d'élévation, que couronne une plate-forme large d'une quinzaine de mètres. Le fossé dont elle était munie n'est plus apparent, mais on en relève encore facilement le tracé, car il est marqué au nord par une ruelle curviligne et suivi à l'ouest et au sud par deux rangées de maisons, toutes bâties sur des caves ; ces caves, les seules qui existent dans le village de Criquetot, ont très probablement été maçonnées dans la dépression offerte par le fossé de la motte.

     

    LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime)     A l'ouest, la motte était munie d'une basse-cour dont les contours peuvent être en grande partie restitués. La limite sud en est représentée par la rue du 8 Mai, qui décrit une courbe régulière, très caractéristique ; au nord un tracé identique était suivi autrefois par une clôture longeant le chevet de l'église, visible sur un plan du bourg de Criquetot datant de 1789 (Cf. note précédente). Quant au côté ouest de la cour, il a été presque entièrement effacé lorsqu'a été effectué l'alignement de la rue de la Victoire ; seule la rangée de maisons située à l'entrée sud de la rue conserve la trace, à peine sensible, de son incurvation primitive. Au total, le baile forme en plan une figure en arc-de-cercle, large de 30 mètres. En profil, on constate qu'il est établi partiellement sur une plate-forme de terres rapportées ; cet aménagement avait été rendu nécessaire par l'existence d'une déclivité du terrain naturel vers le sud. Entre les rues du 8-Mai et de la Victoire la terrasse artificielle atteint une hauteur de 2 à 2,50 mètres et deux escaliers assez raides mettent son plateau en communication avec les chaussées qui la contournent.

     

    Ci-dessus, une photo aérienne extraite du site Google Earth. la motte est indiquée par une flèche.

     

         La basse-cour paraît avoir été divisée en deux parties. Au nord, elle comprenait dans son enceinte une chapelle castrale qui est devenue l'actuelle église paroissiale. L'édifice est dédié à Notre-Dame et sa tour clocher, ainsi qu'une travée ayant appartenu au chœur, datent du premier tiers du 12e siècle (A.M. Carment-Lanfry, « Les églises romanes dans les anciens archidiaconés du Grand-Caux au diocèse de Rouen », Rev. Soc. Sav. Hte Norm., 26, p. 19.). A noter que dans ses alentours, principalement à l'intérieur du jardin du cimetière, on a trouvé à diverses reprises, au 19e siècle, des sépultures du bas Moyen Age contenant des vases à encens (Abbé Cochet, Sépultures gauloises, romaines, franques et normandes, rééd. 1975, Brionne, p. 272.). Elle était séparée du reste de la cour par une limite dont le tracé, d'après le plan de 1789, prolongeait une rue extérieure au château. Il est possible que la limite marque ainsi l'axe suivi jadis par le chemin qui donnait accès à l'édifice résidentiel bâti sur la motte ; elle traverse la basse-cour en son milieu.

         L'autre partie de la basse-cour, délimitée par la place du Marché, offre un espace clos grossièrement quadrangulaire. On distingue sur sa bordure sud, auprès de la façade de la mairie actuelle, l'emplacement d'un vieux puits désaffecté depuis quelques dizaines d'années qui pourrait être l'ancien puits du château. Ce détail est de nature à renforcer l'impression préalable que la place du Marché s'adapte au contour de la partie proprement domestique de l'enceinte castrale. » [6]  

     

    LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime) LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime)

     

     Ci-dessus : plans extraits du cadastre napoléonien de 1809 ; Archives de la Seine-Maritime,http://www.archivesdepartementales76.net/

     

         « Motte castrale : classée comme éléments du paysage et du patrimoine à protéger. » [7]

     

    LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime)     « Le Vivier était une petite mare entourée d’une grille, probablement creusée pour permettre aux occupants de la motte féodale voisine d’avoir de l’eau à leur disposition. » [5]

     

     

    A proximité

     

         « On dit qu’autrefois il y avait à Criquetot deux autres mottes : l’une à La Malebrèque détruite vers 1818, et l’autre au hameau de L’Écluse y d’où le prince de L’Écluse se battait avec celui de La Corne. » [1]

     

         « Les principaux édifices de la commune sont les témoins de l’histoire de la commune. Aussi, Criquetot possède une église dont il reste un clocher roman et des parties du 16e siècle. Le manoir de l’Ecluse date du 16e siècle et le colombier octogonal en brique est du 17e siècle. » [7]  

     

    O Église Notre-Dame de Criquetot-l'Esneval.

     

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         « Bâtie sur un terrain occupé autrefois par les Gallo-romains, la première église daterait du 11e siècle. Des sépultures, des ossements ont été trouvés dans les jardins du château, du presbytère et dans les fondations de la mairie (celle de 1848).

         Elle a été plusieurs fois ruinée pendant les guerres, d’après une date trouvée sur un soubassement, elle aurait déjà été reconstruite en 1535. L’actuelle église date de 1848.

         De l’ancienne église, il ne reste que le clocher, (corps carré roman du 11e), il était à l’époque placé entre le chœur et la nef ce qui vous donne un aperçu des modifications apportées à l’édifice. » [4]

     

         « Ce qui devait naturellement occuper une belle place dans l'ouvrage de l'abbé Lebret, c'est l'église de Criquetot, qui selon nous a donné son nom au village. Elle paraît avoir été bâtie sur un terrain occupé autrefois par les Gallo-Romains ; autour d'elle et notamment dans le cimetière, on a trouvé souvent des tuiles à rebord et des poteries romaines. Un tumulus est dans le voisinage, et dans les flancs de cette montagne factice, on a extrait mille fois des tuiles romaines et des débris de coquillages accompagnement obligé de tout établissement antique dans nos contrées. Des sépultures, des ossements épars ont été rencontrés dans les jardins du château et du presbytère et dans les fondations de la mairie et du vicariat. » [3]

     

    O Manoir de l'Écluse et colombier.

     

    LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime)     « A cet endroit, dès le moyen âge, selon l’abbé Cochet, il devait exister une motte (d’où le nom de l’Ecluse : une barrière qui empêche de passer et non la retenue d’un quelconque point d’eau). Il semblerait d’après la légende que cet endroit aurait été une commanderie de Templiers.

          Le manoir de l’Ecluse est un beau manoir rural à pans de bois de la région. Rez-de-chaussée en pierre de taille décorée de silex en bandes de différentes largeurs et en damiers noirs et blancs. Ses ouvertures sculptées à la manière encore un peu gothique laissent à penser qu’il a été construit au début du 16e siècle. La massivité de l’ensemble marque son souci de défense.

         L’étage est en encorbellement sur les sommiers du rez-de-chaussée. Au 19e siècle les propriétaires du manoir rehaussèrent l’arrière du manoir pour construire des pièces au premier étage ; on voit d’ailleurs dans le mur la trace de l’ancienne pente du toit. La pente de la face postérieure du toit l’apparentait aux manoirs construits par les moines du Valasse, à l’appui de cette thèse la croix creusée dans la pierre à côté de la porte d’entrée.

         Ce manoir a été acquis par la famille de Rallemont au cours du 16e siècle et est resté dans la même famille par héritages au travers des femmes jusqu’à nos jours. (…)

     

    LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime)     Le colombier de l’Ecluse est de forme octogonale. Une forme assez originale mais assez courante dans la région. il était le signe de noblesse du sieur de l’Ecluse : Hector Rallemont.

         Il possède un toit couvert de tuiles plates également à 8 pans, une lucarne d’envol dirigée comme toujours vers le sud et un épi de faitage.

         Il est partagé en deux niveaux, le premier étage : colombier proprement dit le rez-de-chaussée qui fut peut-être un poulailler ou une étable.

         Le corps du colombier est composé de bandeaux alternés en pierres de tailles, de briques, de silex blancs et noirs en damiers.

         Le soubassement, le larmier, la corniche et les chaînages d’arêtes sont en pierre de taille.

         Au-dessus de la porte du colombier ce qui reste d’un cadran solaire qui ornait ce bâtiment.

         Ce décor nous indique l’époque de construction de ce colombier : la brique n’apparaissant dans l’architecture du Pays de Caux qu’au début du 17e siècle et le silex noir (typique de cette région) laissant la place à la brique dès le milieu du 17e siècle. Le cellier construit non loin est de la même époque et l’on peut voir sur une poutre la date de construction : 1623.

         Il n’y a pas de dimension imposée pour les colombiers. Il est seulement observé que pour une question d’harmonie et d’équilibre le diamètre du colombier doit varier entre les 2/3 et les 3/4 de la hauteur de celui-ci. » [4]

     

    Ci-dessus, une photo du colombier du manoir de L'Ecluse extraite de https://www.criquetot-lesneval.fr/criquetot-lesneval-tourisme/histoire-de-la-commune-patrimoine/

     

    O Le manoir d'Alezonde ou Azelonde (aujourd’hui détruit).

     

    LES REMPARTS DE CRIQUETOT-L'ESNEVAL (Seine-Maritime)     « Manoir élevé à la fin du 15e siècle sur les ruines d'une ancienne forteresse par les Martel. Ce logis en pans de bois sur rez-de-chaussée en maçonnerie était encore couvert de chaume au début du 20e siècle. Il présentait une grande qualité architecturale, dans le décor sculpté des cheminées ou des sablières et poteaux et passait pour une référence de manoir cauchois. Une tempête a arraché la toiture en décembre 1979 ; la détérioration de l'édifice - qui a maintenant disparu - a été rapide. » [8] 

     

         « Dans un petit bois connu sous le nom d’Azélonde est une ceinture de fossés qui porte le nom de Camp d’Azélonde. On assure qu’en 1563 cette enceinte fut occupée une dernière fois par Charles IX, lorsqu’il vint assiéger le Havre livré aux Anglais. » [1]

     

    Sources :

     

    [1] Extrait de La Seine-Inférieure historique et archéologique : époques gauloise, romaine et franque... par l'abbé Jean-Benoît-Désiré Cochet  (1812-1875). Éditeur : (Paris) 1864 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k32141851/f192.item.r=Criquetot%20L'Esneval%20motte%20tumulus

    [2] Extrait de Wikipédia

    [3] Extrait de l’Histoire communale de Criquetot-l'Esneval, rédigée d'après les manuscrits de l'abbé Lebret, par M. l'abbé Jean-Benoît-Désiré Cochet (1812-1875). Éditeur : (Ingouville) 1840 https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k326578q/f24.item.r=%22Criquetot-L'Esneval%22

    [4] Extrait de https://www.criquetot-lesneval.fr/criquetot-lesneval-tourisme/histoire-de-la-commune-patrimoine/

    [5] Extrait de la plaquette du Parcours Historique et du Patrimoine de Criquetot-L’Esneval.

    [6] Extrait de L’apparition des seigneuries châtelaines dans le Grand-Caux à l'époque ducale par Jacques Le Maho https://www.persee.fr/doc/arcme_0153-9337_1976_num_6_1_1307

    [7] Extrait de https://www.criquetot-lesneval.fr/wp-content/uploads/2017/08/3.CRIQUETOT-ESNEVAL_1-RDP-3.pdf

    [8] Extrait de https://monumentum.fr/manoir-alezonde-azelonde-pa00100612.html

     

    Ci-dessus, plaquette du Parcours Historique et du Patrimoine de Criquetot-L’Esneval :

     

     

    Bonnes pages :

     

    O https://www.criquetot-lesneval.fr/criquetot-lesneval-tourisme/venir-a-criquetot/

    O https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k3214245v/f146.item.r=Criquetot%20L'Esneval%20motte%20tumulus

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